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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 10:20

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“Mr. Sandman, bring me a dream (bung, bung, bung, bung)
Make him the cutest that I've ever seen (bung, bung, bung, bung)
Give him two lips like roses and clover (bung, bung, bung, bung)
Then tell him that his lonesome nights are over.
Sandman, I'm so alone
Don't have nobody to call my own
Please turn on your magic beam
Mr. Sandman, bring me a dream.”


Quand John Carpenter signe pour Halloween, sait-il qu’il est en train d’initier la saga horrorifique la plus renommée , la plus juteuse, la plus acclamée des saga horrorifiques de l’histoire du cinéma ? Probablement pas, et c’est ce qui fait tout le sel d’Halloween. C’est un film d’artisan, qui cultive un bon rythme, joue sur une tension omni présente (l’habitude de Michael Myers de suivre ses victimes), et qui regroupe une multitude de détails iconiques (un hochement de tête, une pause figée… Dès que Michael bouge, les fans y voient un signe !) et qui par un surnaturel implicite, crée sans s’y attendre le phénomène du Boogeyman, sonnant le triomphe futur du slasher au box office. Peu à peu, la saga se développe. Malgré un Halloween 3 totalement hors sujet (une petite facétie qui ne dépassera pas les 14,4 millions de recettes), la saga se développe, et offre à son public toujours plus de Michael Meyer, pour le meilleur (H4) et pour le pire (H5). Après ce cinquième opus au score mitigé (moins de 12 millions, la pire performance de la saga), un cousin lunatique est lancé à l’aveuglette : H6, où Michael Meyer est piloté par une secte. Après ce désastre, on tente un brin d’originalité avec notamment l’arrivée pour l’écriture du script d’un jeune nouveau : Kevin Williamson. H7 est un décollage total, une putain de résurrection, qui relance la machine sur les chapeaux de roues ! La suite tarde un peu à venir, et là, c’est la décrépitude. Moins de la moitié des spectateurs viennent assister à cette émission de télé réalité navrante (et louchant bien trop vers scream) où Michael fait office de guest star. Après 8 films, Rob Zombie fait table rase, refusant de passer après tant de médiocrité, et se lance dans un remake. Calomnié jusqu’à son arrivée en salle, la surprise est totale. On réinvente Michael Meyers, et on adore ça ! C’est le plus gros succès de toute la saga Halloween. Un triomphe, et le retour d’une icône sur le ring. Et Rob ne s’arrête pas là. Il signe, au nez et à la barbe de Julien Maury et Alexandre Bustillo, pour H2, le remake, et va totalement à l’encontre des attentes de tout le monde, producteurs comme fans ! On n’avait pas vu cette intégrité artistique depuis bien longtemps. Un score au box office pas mauvais, mais qui n’est clairement pas aussi bon que son prédécesseur. Il faut maintenant remaker le 4 (si ils poussent le vice à remaker le 3, je postule comme réal !), et on est loin d’imaginer ce à quoi pense les producteurs. Maintenant que Michael a un look en clochard se la jouant Bad guy, que peut nous réserver un nouveau film ?

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Halloween 1 : Film Culte, chef d’œuvre inconditionnel, on acclame ce film n’importe où, n’importe quand, en le brandissant fièrement comme un étendard victorieux, comme maitre étalon du slasher. Tant de fans partout dans le monde, ça impose certes le respect (et il est dès lors inutile de faire un résumé de l’histoire). Mais tout de même, on s’est beaucoup excité sur ce film surtout parce qu’il compile, certes avec beaucoup de maîtrise, nombre d’éléments qui font mouche. Le maniaque intraitable, caractérisé dans une intro iconique qui sera par la suite mainte fois repompée, incarnation du mal absolu, une force tranquille qui avance en marchant et ne s’arrête jamais. Pas forcément flippant sur le papier, mais Carpenter réussit, grâce à tous ces éléments, à mettre en scène une horreur plus suggérée que filmée frontalement.  Le film cultive son ambiance, fait grandir sa menace et la rend presque omniprésente. Dès lors, on attend sans se relâcher. Ca marche, je ne dirais pas le contraire. C’est cette compilation entre violence dramtisée par le silence (sans toutefois s'étendre sur les blessures, rien de vraiment gore, ce qui est probablement dû a des contraintes budgétaires) et tension permanente qui a permis au film de gagner la sympathie du public. Les filles stressées se pressent contre les garçons sans être dégoutées par la violence, et les garçons sont bien content d’avoir choisi ce film, parce qu’en plus il s’y passe des choses. La formule est au point, les fans se focalise sur l’icône que devient Michael Meyers (une sorte de Jason en plus ambigu), bref, tout le monde y gagne sur tous les plans. Ce petit divertissement (de part ses origines modestes) est un triomphe. Et comme Assaut, il ne vieillit pas (pas tellement en tout cas, car en dehors des équipements qui ont bien changés depuis, la structure reste parfaitement opérationnelle), et conserve toujours cette sympathie du public, qui a droit à un thriller un peu plus agressif que la moyenne, qui a des protagonistes pile dans leur tranche d’âge, et à une galerie d’acteurs plutôt convaincante (Pleasance, Curtis). De l’excellent divertissement, des frissons de plaisirs, mais je ne l'ai jamais vraiment ressenti comme un chef d'oeuvre, comme l'aboutissement absolu d'un genre beaucoup trop vaste pour en être réduit à ce schéma simpliste, mais fonctionnel. Pour un premier film, ça déménage (et l'horreur commence à être bien revandiquées dans les années 70), mais je n'ai jamais vu en lui qu'un classique efficace. Si je survis à cet article, je promets de m’attaquer à la saga Jason pour jouer à nouveau ma vie. Une référence, certes, mais versant trop dans la culture populaire à mon goût.

 

5/6

 

de John Carpenter
avec Jamie Lee Curtis, Donald Pleasence

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Halloween 2 : Rick Rosenthal succède à Carpenter sur cette séquelle à priori plutôt commerciale, qui choisit de reprendre l’action là où le premier s’interrompait. La nuit d’Halloween est loin d’être terminée, car Michael rôde toujours dans le quartier et se dirige vers l’hôpital où Laurie Straude a été emmenée. Cette séquelle cherche à tout prix à conserver le rythme de son aîné. Elle veut donner l’accent davantage sur Michael (déjà très populaire) tout en impliquant ses protagonistes déjà connus. Donald confirme alors son rôle d’accab en contrant à nouveau l’avance d’un Michael Meyers, qui se montre bien plus généreux en termes d’estafilades distribuées avec son grand couteau. Le bodycount explose, un nouveau signe de recherche commerciale, qui fait effectivement du bien par où elle passe. Si le suspense se révèle moins prenant que dans le premier film, les mises à mort sont plus nombreuses, Michael est plus impressionnant (l’infirmière sent bien le scalpel dans son dos…), et le face à face final se teinte d’enjeu dramatique lorsque les vérités de famille sont énoncées. Halloween 2, c’est une jouissance prolongée, la prolongation d’un beau match, qui s’avère à la fois ratée et réussie. Ratée car elle n’offre absolument rien de nouveau au matériau d’origine si ce n’est cette relation de parenté qui s’avèrera être un gros moteur pour H7, et réussie car elle parvient à nous faire revoir les mêmes choses avec un plaisir non dissimulé. Si la surprise est clairement éventée, cette prolongation ne se regarde pas sans déplaisir (à condition de la voir à nouveau comme un divertissement qui tape un peu plus dans le gore cette fois ci), et a contenté largement les fans en leur temps. Une idée de la suite respectueuse, qui ne brille pas par ses choix téléguidés.

 

3/6

 

de Rick Rosenthal
avec Jamie Lee Curtis, Donald Pleasence

 

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Halloween 3 : Ou comment trahir le fan de la plus humiliante des façons. Au sein d’une saga de film qui explore Halloween sous l’angle du serial killer iconique, reprendre ce titre pour tenter quelque chose sans aucun rapport était très risqué. On en constate aujourd’hui le résultat. Si le film n’est pas si mauvais que ça (on sent un certain style carpenterien dans le ton de l’histoire et sa bande son), il est en hors sujet total. Partant de là, a-t-il vraiment sa place dans cette saga ? La réponse est clairement non. Ces robots qui rendent parano, ces masques piégés, ce complot à l’échelle nationale… Rien de ce qui est traité ici n’a de rapport avec la saga, si ce n’est la fête d’Halloween. Frustrant sur ce tableau, mais le film de Tommy L. Wallace n’est pas une bouse. Il réussit même à nous lancer dans son histoire quand le héros commence à observer des activités suspectes dans l’hôpital où il travaille et qu’il remonte la piste. Inattendu, parano mais à la fin frustrante car nous coupant en plein milieu de l’action, H3 est le poids mort, le boulet, le traine savate de la saga, qui ne jouira jamais d’une réelle réhabilitation malgré son originalité certaine (son seul tort est de porter un nom qui ne lui convient pas). Un film en demi teinte, où l’on est partagé entre frustration et découverte d’un nouvel univers. Bancal.

 

3/6

 

de Tommy Lee Wallace
avec Stacey Nelkin, Ralph Strait

 

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Halloween 4, the return of Michael Meyers : Après un H3 perdu dans ses divagations, on revient à ce bon vieux Michael, qu’on décide de transférer d’asile un soir de pluie. Quelques explications brumeuses pour nous faire avaler sa survie, et ça repart, le bonhomme s’échappe. Mais Laurie ayant disparue, on va maintenant s’intéresser à sa nièce. H4 innove, dans un certain sens, et chose hautement risquée mais honorable, il inclut maintenant les enfants dans son récit. Ce sont en effet eux les acteurs d’Halloween. Ils disposent maintenant d’un vrai porte parole, Jamie Lloyd, interprétée par une mignonne Danielle Harris très impliquée dans son rôle. Sa performance de jeune actrice est indéniable (la meilleure que j’ai vu avec Jodelle Ferland dans Silent Hill et Isabelle Fuhrman dans Esther). Pas question de laisser sur le carreau les anciens fans, Pleasance rempile dans son rôle maintenant connu, mais gagnant en épaisseur lors d’une discussion avec un prêtre fantasque. Si Michael met un peu de temps avant d’arriver sur place, la situation commence un peu à se tendre, avec notamment l’apparition de rêves cauchemardesques chez la jeune Jamie. Le film se permet d’ailleurs un hommage autocentré lors d’une séquence où plusieurs badauds portent le même accoutrement que Michael. Un petit jeu de clin d’œil, en somme. Le gore prend ici des proportions plus généreuses, Michael retrouve son efficacité (comment se servir d’un fusil déchargé ?), et le film n’hésite pas à se lancer dans quelques séquences de suspense puissamment divertissantes (la fuite sur le toit) pour épicer son récit. Comme on le dit, l’enfant devenant l’enjeu du récit, le film vise ici plus l’horreur que ses prédécesseurs. Et c’est d’autant plus remarquable qu’il parvient lui aussi à se créer un certain rythme, entre des renforts toujours en retard et un boogeyman toujours aussi rapide. Avec un final référentiel (le clin d’œil au premier est, sans être subtil, bien senti) et sombre, H4 nous donne une vraie bouffée d’air, et nous fait reprendre confiance dans cette saga au potentiel encore exploitable.

 

4/6

 

de Dwight H. Little
avec Donald Pleasence, Michael Pataki

 

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Halloween 5, the revanche of Michael Meyers : Après un succès commercial plutôt confortable pour un quatrième opus, H5 relance son histoire avec les mêmes personnages que précédemment. Jamie essaye de se remettre de sa violente crise de H4, pendant que Michael est recueilli par un fermier du coin qui n’a visiblement pas connaissance du téléphone pour appeler les urgences. Une fois remis sur pied, un an plus tard, Michael revient, et il n’est pas content. Ce cinquième opus réalise la plus piteuse performance en termes de box office de la série. Et c’est compréhensible, car il accumule peu à peu les maladresses sans vraiment se donner la peine d’avoir une histoire. Ce lien télépathique entre Jamie et Michael (qui sera exploité, à sa façon, par Rob Zombie) apparaît ici maladroit, ne permettant jamais d’obtenir des moments de virtuosité comme chez un Les yeux de Laura Mars. C’est juste Jamie qui crie quand Michael tue quelqu’un. La scène dans la vieille maison est elle aussi ratée, car si elle était sensée nous faire stresser, nous nous retrouvons en face d’une mécanique laborieuse. Jamie descend par le vide linge, Michael descend par les escaliers. Jamie remonte par le vide linge, Michael remonte par les escaliers…) Vite lénifiant, ce nouvel opus de la saga ne brille pas par son originalité, et alourdit le mythe bien plus qu’il ne sublime les nouvelles directions d’H4. Un slasher bas de gamme, qui commet l’irréparable erreur du clin d’œil à outrance, où 4 fois de suite on nous fait le coup du fan déguisé en Meyers, ce qui ruine la scène dans son intégralité. Vraiment au ras du sol.

 

1/6

 

de Dominique Othenin-Girard
avec Donald Pleasence, Ellie Cornell

 

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Halloween 6, the curse of Michael Meyers : Ici, c’est le bébé de Jamie qui devient la cible de Michael. Mais comme un bébé, ça ne court pas très vite, il a fallut être un peu plu malin que cela pour écrire un scénario. C’est maintenant chose faite, puisque Michael se trouve maintenant piloté par… une secte. Oui oui, parmi toutes les possibilités de scénarios, ils ont pioché « télécommandable par une secte (satanique de préférence) ». Pour être encore plus original, j’aurais suggéré la thèse des extra terrestres vénères… Bref, ce script vaseux est un avant goût du film : vaseux lui aussi. Malgré quelques tentatives ludiques (défonçage de grille au crâne, belle décapitation à la hache…), H6 n’arrive jamais à sortir de ce script léthargique, que sa nouveauté parasite bien plus qu’il n’enrichie. Le personnage de Jamie sera d’ailleurs totalement bafoué lors de sa sortie, certes ultra-gore, mais pas vraiment présentée comme un climax. Une étape seulement. Ces ados se retrouvent alors un peu perdu avec cette histoire de bébé sur les bras, et Donald Pleasance est devenu un vieux retraité qui ne retrouve à aucun moment le charisme dont il avait pu faire preuve dans les premiers Halloween. Bref, une débâcle de plus, un slasher sans grande conviction, qui malgré quelques fulgurences ne parviendra jamais à divertir comme ses prédécesseurs… Une bonne petite déception pour ma part.

 

1/6

 

de Joe Chappelle
avec Donald Pleasence, Paul Rudd

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commentaires

H
ok, merci du tuyau !
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H
je n'ai en effet pas vu les suites, je compte les tenter...<br /> Avec des pincettes !!
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V
<br /> <br /> ^^ En fait, c'est toi qui les choisira. Le 4 et le 5 sont à essayer, j'aime le 4 et je déteste le 5, mais c'est l'inverse pour beaucoup de monde. Le 7 est globalement apprécié, puis après, ce<br /> sont les remakes. Les autres films sont hyper mauvais (le 2 passe quand même, sans innover).<br /> <br /> <br /> <br />
H
récement revu, et la terreur reste entière, notamment le passage où Myers est caché sous un drap avant d'attaquer une jeune fille dont il vient de tuer le compagnon (je parle du I, là !). Après, ce<br /> n'est pas du tout un film jouissif, mais plutôt un film d'ambiance !<br /> <br /> Reste un excellent slasher, le meilleur Carpenter à mes yeux, même si THE THING et L'ANTRE DE LA FOLIE sont bien plus flippants !
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V
<br /> <br /> J'ai écrit jouissif dans ma chronique ? Autant pour moi, mon avis actuel se voudra peut être plus tempéré, même si je continue à considérer La nuit des masques plutôt comme un thriller qu'un film<br /> d'horreur (question violence, en dehors de la situation, les saillies sont moins brutales que prévues (il y avait une certaine censure aussi à l'époque)). Je l'ai découvert assez tard, donc peut<br /> être qu'il m'aura moins marqué que beaucoup d'autres cinéphiles.<br /> <br /> <br /> Coup de coeur pour cette nuit des masques donc... Ca reste l'opus le plus populaire de Carpenter (même si je lui préfère The thing, avec L'antre de la folie juste après. Tu n'as pas vu les autres<br /> suites d'Halloween ? J'adore me faire pourrir sur mon attachement pour le 4...<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> m'en souviens presque plus: c'est dire s'il m'a marqué...<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> J'ai donc ton avis : pas marquant. Comme c'est le mien aussi ça m'arrange d'interpréter ton silence ainsi ^^<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> pr moi, le 6 et le 8 restent les pires épisodes de la saga<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> Largement d'accord avec toi (vu la note que je leur ai mis). En revanche, quel est ton avis sur le 5 ? Moi, je ne l'aime pas du tout, mais je connais des fans qui l'adorent...<br /> <br /> <br /> <br />

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